Vous n'êtes pas victime de la procrastination
Bonne nouvelle : vous n’êtes pas victime de procrastination ! Ce n’est pas une maladie, ce n’est pas non plus un handicap ni même quelque chose que l’on subit. Ce n’est ni une tare, ni une fatalité.
En réalité, c’est un choix, outch 😉
Oui, de même que vous choisissez de procrastiner, vous pouvez choisir de sortir de la procrastination.
Si vous souhaitez explorer ce qui se passe en vous et surmonter vos propres obstacles, n’hésitez pas à me contacter !
La procrastination : un choix (conscient ou inconscient)
La procrastination est un choix de remettre à plus tard ce que vous pensez devoir faire. Vous êtes l’unique décideur de ce comportement, même si vous le dépréciez. Procrastiner, c’est remettre à plus tard. Et qui le fait ? C’est vous, et seulement vous. Vous ignorez peut être pourquoi, mais vous seul détenez les réponses et les solutions pour changer ce comportement qui vous nuit.
Se remettre en question
La procrastination ne vous défini pas. Vous êtes né avec votre libre arbitre et vous avez toujours le choix de vos pensées ou de vos réactions. Vous pouvez choisir d’agir ou de ne pas agir dans toutes les situations que vous vivez.
Peut-être est-il temps de vous poser les bonnes questions et de vous repositionner : réduisez votre anxiété, réévaluez vos peurs, apprenez à vous concentrer, redéfinissez vos objectifs et souvenez-vous de votre but. Si vous pensez devoir agir mais ne le faites pas, vous avez probablement développé des stratégies d’évitement, et vos comportements en témoignent.
Pour sortir de la procrastination, vous devez comprendre ce qu’elle révèle de vous. Vous devez aussi commencer à identifier ce qui vous motive et ce qui vous fait faire demi-tour !
Clarification et responsabilité
Déterminez si vous devez agir, pour qui et pourquoi.
À qui appartient la responsabilité ? Quel est le niveau d’importance et de priorité ? Comment vos choix ou non choix vous servent-ils ? Quelles seront les conséquences si vous ne faites pas ce qui est nécessaire ? En reconnaissant que c’est votre choix, vous pouvez plus facilement changer de comportement. Reprendre conscience de votre responsabilité, c’est reprendre le contrôle de vos choix et retrouver votre liberté.
Une lutte intérieure
Procrastiner témoigne souvent d’une lutte intérieure entre « je dois », « je veux », « il faut », « je peux » et « je ne peux pas ». Cette lutte cause une perte d’énergie considérable, dont vous auriez bien besoin pour passer à l’action. La seule victime, mais aussi le seul responsable de cette lutte, c’est vous. Inutile de culpabiliser, mais il est important de reconnaître ce qui se passe pour le déjouer. Vous pouvez choisir de continuer à lutter ou de régler le conflit interne.
Responsable et capable de changer
L’idée que vous êtes responsable de vos comportements, même ceux qui vous nuisent, et que vous pouvez les changer peut être déroutante. Mais si vous avez l’impression de faire fausse route, c’est peut-être une bonne chose.
Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? Qu’est-ce qui compte pour vous ?
La procrastination cache souvent quelque chose. Sortir de la procrastination, c’est se permettre de découvrir qui on est et ce dont on est réellement capable.
Regardez en face vos problèmes
La procrastination n’est pas le problème, c’est une réponse à la difficulté à laquelle vous ne faites pas face. Elle vous permet de ne pas regarder le problème réel, probablement d’ordre émotionnel. En regardant vos problèmes avec objectivité, vous pouvez les faire évoluer dans la direction souhaitée. Pas subie : voulue !
Et maintenant ?
Véronique DUCREUX,
Formatrice PNL, Hypnose + Méthode SEDONA
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